La recréation d'un ancien forum Rpg d'après le manga D.gray-man. Joignez vous à la guerre sainte lors de l'heure la plus sombre des exorcistes, alors que même le monde qu'ils s'acharnent à sauver leurs a tourné le dos.
 
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Ernestine De Joyeuse - « Besoin d'une information? » [Terminée ♥]

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Dim 19 Mai - 9:26
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Ernestine De Joyeuse - « Besoin d'une information? » [Terminée ♥] 988299ErnestBann

Ernestine De Joyeuse
Je reviendrais, Lucius...


22ans ✝ Civile ✝ Féminin ✝ Française

Physique : Si légère, si douce. Tant de fragilité. Telle une poupée de porcelaine se trouve-t-elle être.
En effet, le visage de cette demoiselle est quelque peu triangulaire, avec des joues discrètement rondes munies de rougeurs naturelles. La couleur de se peau est exquisément blanche. De plus, elle est d'une douceur extrême. Les yeux de cette jeune femme sont dotés d'une couleur bleue profonde. Azure, ou bleu royal. Qu'importe, ils sont hypnotisant, captivant. Les cils qui entourent ses paupières sont longs, donnant alors ainsi une impression immensité. Comme l'air d'émerveiller ces petites filles rêvant d'une véritable poupée de porcelaine de l'époque. Par conséquent, son nez et ses lèvres semblent être inexistant. Ils sont si discrets, si fin. Quoiqu'un peu rosée, comme le sont ses pommettes.
Ornant se visage, semblant trop parfait pour être vrai, de longs et fins cheveux noirs comme le jais. Ils sont lissent, lui arrivant dans le bas du dos. Souvent, dans sa ville natale, on ne la croit pas française, à cause de cette longue chevelure pareille a celle des asiatiques. Cela dit, cela ne lui dérange guerre. C'est une jeune femme qui accepte son corps et son physique tel qu'il est, sans vraiment s'en plaindre. Il faut dire que sa silhouette est svelte et délicate. Ernestine est loin d'être une demoiselle de haut rang qui aime se prélasser et manger des denrées plus qu'alléchante. Non, loin de là. C'est une personne sportive, athlétique. Ses bras sont longs et finement musclés ; tout comme ses jambes qui en feraient certainement jalouser plus d'une. De plus, les hanches de cette demoiselle sont assez bien développées. Elles sont larges, dévoilant un léger creux harmonieux au niveau de sa taille. Des hanches presque proportionnelles à sa poitrine, quoiqu'un peu plus discrètes que ses hanches.

La De Joyeuse n'est non plus le genre de jeune femme qui aime exhiber la beauté de son corps. Mais plutôt celui de son visage. Vous voyez le genre de personne effacée et perdue dans la masse ? Et bien, cette Ernestine fait partie de cette catégorie-ci. Il faut dire qu'avec son statue professionnel, il le faut bien. Souvent, elle attache ses longs cheveux afin de diversifier son physique dans le monde du travail. Elle a beau être discrète et compétente dans ce domaine, elle-ci préfère être prudente tout de même.
Il en est de même niveau vestimentaire. Même si la jeune femme est indépendante et vie seule avec ses propres moyens, cette dernière arrive tout de même à varier les couvertures de son physique. En général, pour paraître une jeune femme innocente et sans aucune défense, elle portera des vêtements de haute couture française. Tantôt, elle jonglera avec de simple vêtement du quart-monde. D'enfant des rues, ou même de simple commerçante ambulante. Il faut bien savoir s’infiltrer et s'adapter à n'importe quel moment et environnement.



Mental : Sa manière de penser est voisine de son physique. C'est une personne ayant une fragilité interne très développée. Je dirais même que cela est sont plus gros point faible. Un rien peu la déstabilisée, elle s’efforcera à se construire une mur facial pour camoufler ce défaut.
Cela dit, Ernestine possède le tempérament de son père. Des arguments durs et véritables. La maniabilité des mots justes, comme il le faut, à chaque type de personnages, à chaque types de situations. En effet, le point fort de cette jeune femme est qu'elle soit indépendante et ait la capacité de s'adapter à la situation. En étant seconde de la lignée de la sixième génération des De Joyeuse, la jeune femme à était la plus délaissée de la famille. Elle est donc habituée a se débrouiller seule. Même si, à cause de sa fragilité imposante, cela est bien plus compliqué à contrôler. La solitude n'est pas un tabou pour elle, mais lui rappeler pourrait de nouveau la troubler.

Vivant seule et par ses propres moyens depuis qu'elle ait seize ans, Ernestine sait se défendre, d'une manière féminine certes, mais d'une manière assez radicale. Elle se défend avec les mots. Elle blesse à coup de mots, de vérités générales., tel un homme politique. Mais quand cela ne suffit point, souvent par ailleurs, elle à recours à la force brute. Bien qu'elle joue dans la subtilité du combat, lorsque son poignard ne suffit pas, elle se sert, bien évidemment, de son corps. Bien que son travail soit dans la négociation et l'information, c'est un travail assez dangereux, qui nécessite un corps habitué à ce mettre en danger et prendre les coups.

Malgré cette couverture « brute » et relativement « fermée » ; « rétractée », Ernestine est l'incarnation de la douceur. Elle a le cœur sur la main, et est trop gentille. Ce qui lui peu lui coûtée parfois la vie. Son honneur est plus qu'important pour elle, bien plus que sa vie. Ayant un père pieu et une mère partisante de la milice, la brunette à sue développer plusieurs points de vue sur le monde d'aujourd'hui et de se méfier de tout, parfois même de ses proches. Cela dit, Ernestine est comme qui dirait neutre. Bien qu'elle pencherait plus sur l'existante pure et véritable des exorcistes. D'ailleurs, contredire l'éradication des Akumas par les exorcistes et dire que la Milice soit suprême est comme un Blasphème pour elle. Il faut dire qu'elle eu un mauvaise expérience, ayant recourt à cette peine que la Mort nous fait subir lorsqu'elle nous arrache une père que nous aimons. Que nous serions prêt à offrir nôtre âme à souffrir, rien que pour revoir l'enveloppe corporelle d'une être aimé.


Histoire :

Toutes belles histoires commencent par « Il était une fois... », mais cette histoire-ci n'est ni belle, ni vraiment tragique. Elle est tout simplement une histoire de la vie comme elle devrait être décrite. Une histoire évoquant la vie, la mort, l'amour, la nature... Oui, comme le Lyrisme, en oubliant juste la musicalité de ce registre... Gardez en tête le côté « réaliste » d'une vie ayant un cycle naturel et normal. Avec ses plaisirs et ses tristesses. Ses miracles comme ses malheurs.

La vie n'est pas une Utopie. Elle n'est pas non plus un texte scientifique. La vie est une chose innée, elle est offerte, par d'autres personnes, qui eux aussi connurent la vie sous divers angles et points de vue. D'autres, comme une horrible chose, d'autre à merveille... Dans la famille De Joyeuse, cette vie était agréable, une vie où tout était parfait. Une vie qu'on enviait bien souvent. Non seulement par une famille nombreuse et conviviale, une famille bourgeoise. L'homme de la famille était Félix De Joyeuse, homme politique reconnu dans la capitale française. Il était de mèche avec tout ce qui touchait l'argent et la réussite, et surtout avec la Milice. Cela dit, il avait des liens avec le quartier général tout en étant discret.
Il en était de même avec la mère porteuse de ce cocon familière, partisante de la Milice, Célestine Coursevent de Joyeuse. Elle n'était qu'une femme au foyer, donnant naissance à trois beaux enfants.

Louise, une jolie jeune femme de maintenant trente-sept ans, mère aussi d'un petit garçon nommé Igor. Mère épanouie, et veuve. Une rumeur courrait à cet époque. Certains hommes disaient qu'elle avait tué son époux car celui-ci fricotait avec la laitière du coin. Mais, personne ne savait si cet homme était décédé d'une mort naturelle. Sauf, une personne.
Cette personne était le second enfant de la famille ; Ernestine. Une enfant sage et discrète. De bonne manière et de bonne foi. Enfant naïve avec un esprit ouvert. Cette jeune femme possède maintenant vingt-deux ans, est connaît la véritable mort de son beau-frère, Hanz Günther. Cela dit, elle le garda au plus profond d'elle et veilla comme une seconde mère son petit frère, le cadet, Arthur De Joyeuse, n'ayant qu'a peine seize ans. Un petit bonhomme aussi doux et discret que son aînée Ernestine. Ce jeune gamin vie encore avec ses parents qui le chérissent. Mais le petite Arthur fut bouleversé par le départ soudain de sa douce sœur brune.
En effet, Ernestine avait l'âge de travailler et rapporter de l'argent -en plus- pour la famille. Indépendante est heureuse de pouvoir enfin voler de ses propres ailes, la demoiselle ne demanda aucune aide financière de la part de ses géniteurs. Elle parvint à trouver de nombreux petits boulots, par-ci, par-là. Certains étaient miteux et désagréables. Comme aider les croques-morts à enterrer la boîte mortuaire. Mais, cela était bien payé à l'époque. Ernestine continua ainsi dura deux petites années, avant que son vrai travail prit une grande importance dans la civilisation du monde. Et pourtant, elle l'ignorait. Deux choses vinrent la perturber à vie...

En effet, la jeune femme avait gardé pour elle le secret de sa sœur aînée. Ce fameux mystère qui règne sur la capitale et l'honneur de la famille De Joyeuse. Ce souvenir revint lorsqu'elle marchait dans les rues de Paris, plus précisément le long de la Seine, là où se trouvaient de nombreux marchants de livres et de journaux qui siégeaient la journée. Le titre d'un quotidien lui frappa l'esprit. « Les De Joyeuse : remise en cause de leur puissance politique à cause de leur enfant ? » La jeune femme s'avança vers le vieil homme qui tenait le stand. Délicatement, elle lui déposa un pourboire dans sa main rêche et ridée. La jeune femme saisissait le journal avant de le parcourir rapidement, tout en marchant d'un pas ferme dans un endroit un peu plus isolé.

Enfin posée dans une ruelle calme, là où personne ne pouvait la voir, elle soupira longuement et prit conscience de son pouvoir en ce moment même. Elle réfléchit longuement et se dit enfin qu'avec sa mémoire et par le nom de sa famille, et surtout par son sens de la négociation et de la maniabilité des mots elle pouvait se lancer dans l'information, discrètement bien sûr. Mais, cela était trop dangereux de faire ce « boulot » avec son vrai nom. Elle serait inconnue, et se lança le soir même. Elle se rendit dans une bibliothèque, afin d'étudier plusieurs archives concernant les conséquences d'au jour d'aujourd'hui. Notamment sur le sujet qui brûle les âmes et les cœurs des habitants du monde : les exorcistes et d'autres êtres de couleur de peaux sombres... Et tous ce qui tourne autour.

D'ailleurs, durant cette période-ci, Ernestine n'avait que la vingtaine. Et, elle n'imaginait pas que quelques années plus tard le quartier général de la Congrégation allait être détruite.

La nuit où la charmante brune étudiait au peigne fin les archives du monde, en diverses langues et traducteurs, elle n'imaginait non plus qu'un homme allait la rendre si fébrile, et si maladroite. Oui, un jour ou l'autre une personne à le droit de trouver... L'amour, non ? Ce n'était qu'un bibliothécaire mais, cet homme était un gentilhomme. Il savait s'y faire avec les jeunes femmes. Par ailleurs, cet inconnu fut troublé par la présence d'une femme telle qu' Ernestine, à cet heure-ci, à quelque minutes de la fermeture de la bibliothèque. Ce dernier vint interrompre gentiment la réflexion de la brunette, lui rappelant à l'ordre d'une voix basse que l'établissement allait fermer ses portes. En relevant ses yeux hypnotisant, Ernestine tomba nez-à-nez à jeune homme fin est grand, brun, lunettes sur le bout du nez, ainsi qu'un air imperturbable, si perturbant.
La De Joyeuse semblait confuse en hocha fébrilement la tête, les joues rougies et se leva de sa chaise afin de ranger les nombreux bouquins qui étaient sur la secrétaire. L'homme l'aida, comme tous bons gentilshommes. Cet inconnu lui demanda d'un air calme se qu'une jeune femme comme Ernestine pouvait faire ici, à une heure aussi tardive. La Demoiselle expliqua donc qu'elle voulait en savoir sur la société d'aujourd'hui. Aussitôt dit, l'homme se présenta dans un large sourire, qui rendit la bourgeoise toute chose. Encore aujourd'hui, elle entend le murmure de la voix de cet homme incroyable.

    - «  Je serais ravis de vous aider dans vos rechercher. Appelez-moi donc Lucius. » Il eu une légère pause. « Lucius De Hallewynn. »


Lucius était une homme de littérature, qui aimait parler de la beauté de la langue française, et de la beauté en général. Il était aussi un homme qui aimait la politique et tout ce qu'il pouvait se passer dans le monde. Il suffoqua lui aussi sous le charme de la jeune femme. Tout comme Ernestine suffoqua sous le charme du jeune homme. Une jeune femme aussi belle et qui aime se cultiver. Si douce, si fragile... Comme une poupée de porcelaine qu'on si aurait peur de briser.
D'ailleurs, Ernestine garda son regard azur sur cet homme, avant de lui répondre d'une voix fragile et intimidée son prénom. Juste, son prénom, comme ceci.

     - « Er... Ernestine. » Puis, sa politesse prit le dessus. « Je suis enchantée et ravis de faire votre connaissance, Lucius. »


Cette nuit-là était la naissance de son travail d'informatrice, Lucius faisait des enquêtes durant ses heures de travail, envoyant très souvent des nouvelles à Ernestine, étant de plus en plus complice avec celle-ci. Oui, il l'aimait, et ne savait pas comment lui dire. Il lui donna donc un travail dans cette bibliothèque. Une sorte de journaliste, mais ce journalisme tourna un peu comme... Un trafique d'information. La jeune femme devint alors une personne importante sous toutes ses formes. Recherchée par de mauvaises personnes, et tant recherchée pour ses connaissances et ses vérités sur ses nombreuses rumeurs. Sollicitée par tous genres de personnalités, elle prit donc la décision de se faire payer par ses services si utiles. Et, elle fit fortune, et pouvait ainsi cacher son identité sous divers vêtements, coiffures... Elle partagea ses gains avec Lucius.
Ils étaient encore plus proches, ils avaient déclaré leurs flammes l'un a l'autre. Ils avaient conscience du danger et qu'ils pouvaient lettre leurs vies en jeux. Mais les deux jeunes gens étaient passionnés. Ils étaient même fiancés...

Jusqu'au jour où... Le passage tragique de cette histoire arriva.

En effet, ce qui devait arriver arriva. Un mercenaire du vieux Paris avait compris le petit manège de ce jeune couple. Il avait compris la supercherie et voulait être le seul à transmettre ses propres connaissance. Sauf que... Cet homme, était troublant, perturbant. Il n'avait pas l'air si humain... Ernestine était dans le sud de la capital cette journée-ci. Et, cette journée était la veille de la destruction de la congrégation.
Cet homme, n'était pas humain, il était une machine, qui semblait avoir de la rancœur envers cet homme. C'était en effet un akuma. Ce monstre pénétra dans l'enceinte de la bibliothèque, et prit sa forme originelle afin de pouvoir commencer son joyeux et sublime massacre. Une vingtaine de personnes perdurent la vie, cette journée-ci... Dont Lucius De Hallewynn. Un exorciste arriva trop tard. Cet akuma avait fait trop de ravage mais fut exécuté dès l'arrivée du sauveur.
Dans le nord de la capitale, la rumeur arriva rapidement à la jeune femme. Aussitôt, elle prit le premier train à vapeur pour s'y rendre. Cela lui mit environ une heure mais, l'exorciste était encore là, à faire l'archive des cadavres.

Lorsque la jeune femme arriva, elle ne chercha pas à comprendre si la personne était mauvaise ou non. Elle ne faisait aucune différence entre le mal et le bien. Elle criait, se posait des questions rhétoriques telles que « Pourquoi ici ? » La jeune femme en voulait à cette personne, ce sauveur d'être arrivé trop tard... Mais, elle finit par se calmer, et repartir d'un pas las vers son petit chez sois. A se changer, et s'asseoir face à se fenêtre de chambre, ouverte.
Elle priait et demandait grâce tout en observant sa bague de fiançailles. Elle ne pensait que quelqu'un allait entendre ses pleurs et sa détresse. Un homme dodu et grotesque fit son apparition, juste derrière la jeune française. Il lui parla calmement, d'une voix presque rassurante, lui jurant ainsi que si elle vendait son âme, elle pouvait revoir son cher et tendre. Ernestine allait jurer serment. Elle voulait absolument revoir l'homme qu'elle aimait. Il faisait si sombre, et la lumière lunaire lui donnait déjà un teint de morte...

Alors que la jeune femme était sur le point de signer le pacte avec la Mort, le sauveur faisait une veillée non loin, évangélisant certains akumas de niveau négligeant et senti non loin que quelqu'un d'autre allait donner son âme à l'homme le plus redouté. L'exorciste accouru vers l'endroit où cet homme grotesque se trouvait. Non il ne savait pas où il était, mais il laissa son Golem et son instinct le guider .

Ernestine manqua de prononcer ses derniers mots, et de laisser échapper son dernier souffle. Son cœur et son corps n'allait plus lui appartenir, elle ne serait plus qu'un pantin, objet de souffrance et de malheur. Mais le sauveur arriva de justesse pour interrompre ce jugement dernier. Bien sûr, il ne pouvait rien faire face à l'homme nommé « Le Conte », mais il pouvait au moins en dissuader la jeune femme, qui pouvait encore vivre pleinement sa vie, bien plus belle et plus heureuse.
Au discours de l'exorciste qui réveilla la jeune femme, elle renonça au dernier moment, et Le Conte disparu en laissant plusieurs akumas s'occuper du reste. Mais l'homme portant la Croix vint à protéger la simple humaine, la laissant seine et sauve, sans rien faire de plus. Il parti dans un silence religieux, avant de perdre à son tour la vie durant le massacre de la Congrégation.

Oui, la vie n'est ni une Utopie, ni un récit scientifique. Mais, elle est d'autant plus complexe à déchiffrer et à comprendre. Cela dit, il y a les merveilles de la vie qui sont encore plus compliquées à acquérir. Il faut alors prendre la vie comme elle vient, faire face à son destin, une vie ayant un cycle naturel et normal. Avec ses plaisirs et ses tristesses. Ses miracles comme ses malheurs, irréversibles.

Travail : Informatrice.


Points Faible : Sa fragilité intérieur est sa plus grande faiblesse. Cette demoiselle est une hypersensible refoulée. En aucun cas elle voudrait montrer cette facette à son entourage. Et encore moins aux proches, même si cela est peine perdue. Lui rappeler sa solitude est aussi l'une de ses faiblesse.
Mais il y a aussi autre chose. Et cette chose c'est d'évoquer les Exorcistes comme des malfrats.

Spoiler:


. : Vous : .



~ Prénom/Pseudo : Miyu.
~ Âge : Cela ne se demande pas à une jeune femme voyons !
~ Comment avez vous connu le forum ? : Ancien membre, toujours présent.
~ Présence sur le forum de sur 7 : Environ 4jours sur 7.
~ Autre chose ? : J'aime LA Fondatrice ! Et je tiens au mot "Princesse" ! ;3


Invité
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Lun 20 Mai - 4:26
Et le pire, c'est que t'écris toujours si bien... -si ce n'est mieux ?-
Je valide, évidemment >w< ! (Avec un peu de retard vui. C'est ma faute. u_u')
Mao « Suru » Sheehan
Mao « Suru » Sheehan
Messages : 7
Date d'inscription : 14/05/2013
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Lun 20 Mai - 4:52
    Toujours aussi bien ? Je ne trouve pas, personnellement xD
    [Oh, Camelia... *-*]

    Merci pour la validation ! ♥
Invité
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